FAQ

Page de Questions Fréquentes

Quelle est la durée d’un suivi en Shiatsu ?

Le nombre de séances proposées varie selon plusieurs critères (l’âge, la pathologie, l’ancienneté du problème..), cependant il est intéressant de grouper trois séances initiales espacées de 15 jours minimum.

Ensuite on peut choisir de recevoir une séance à chaque changement de saison (selon le calendrier chinois) pour aider l’organisme à s’adapter à la dynamique de la nouvelle saison.

Un Shiatsu peut-il avoir des effets indésirables ?

Pendant une séance, par les pressions sur les points d’acupuncture, les étirements, les palpations, l’énergie (Ki ) circulera à nouveau dans le corps. Cette vitalité retrouvée donne un état de détente et cependant, il est possible de ressentir un surplus de fatigue au cours des 48 heures suivant la séance, ou d’avoir autres réactions bénignes ; cela est absolument normal.

Une femme enceinte peut-elle recevoir un Shiatsu ?

Le Shiatsu est adapté à la femme enceinte, notamment pour soulager certains maux comme nausées, constipation, douleurs lombaires, jambes lourdes… et cela à partir de 3 mois de grossesse. Dans les différents cas de figure, nous vous orientons vers un praticien FFST compétent pour la prise en charge.

Contre-indications du Shiatsu

Toute approche du corps oblige un principe de prudence qui est enseigné aux praticiens FFST dès le début de la formation.

1) Contre-indications strictes
– pathologies obstructives (phlébite, embolie…) qui sont des urgences médicales. Avant de venir au cabinet, attendre au moins 3 mois après évacuation ou destruction de l’embole, et ceci validé par des examens médicaux
– infarctus récent ; en effet, le Shiatsu entraîne une augmentation de la circulation sanguine que le cœur ne peut pas gérer avant 3 mois
– pathologies chroniques non stabilisées : épilepsie, hypertension artérielle, etc. l’activation sanguine ou les stimulations neurologiques d’une séance peuvent aggraver l’état.

2) Contre-Indications relatives
– refus de la personne
– ébriété du receveur ou état altéré par prise de substances psychotropes
– ostéoporose grave ou métastases osseuses
– prise de corticoïdes au long cours
– toute maladie aiguë avec fièvre supérieure à 39° ; cela est un signe de lutte de
l’organisme contre l’agent infectieux, et il est par conséquent inutile de le surcharger
– hernie discale ou douleur du nerf sciatique en phase inflammatoire.

3) Autres contre-indications non bloquantes
Une séance est possible, tout en évitant de traiter les zones atteintes par les cas suivants :
– varices
– plaies
– fractures de moins de 6 semaines (temps de consolidation de l’os)
– cicatrices opératoires récentes et/ou adhérences.

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